Y aller voir de plus près
Maguy Marin
Remonter au plus loin, se tenir au plus près… Il y a 2 500 ans, dans une œuvre monumentale, Thucydide se fait le chroniqueur précis de la Guerre du Péloponnèse qui oppose sa cité (Athènes) à celle de Sparte. Le plateau du théâtre et ses habitants, encombrés à l’excès, se chargent de cette masse de textes, de noms, de chiffres, de cartes, reflètent aussi la masse immémoriale des humains et des guerres venues depuis, dénudent surtout, par bonds et associations, les ressorts géopolitiques de tout conflit.
générique
conception : Maguy Marin
en étroite collaboration et avec : Antoine Besson, Kais Chouibi, Daphné Koutsafti, Louise Mariotte
et avec l’équipe artistique :
pour le film David Mambouch et Anca Bene
pour les maquettes Paul Pedebidau
pour l’iconographie Benjamin Lebreton et Louise Mariotte
pour la conception sonore et musicale David Mambouch
pour la direction technique et la lumière Alexandre Béneteaud
assisté de Kimberley Berna-Cotinet
pour le son Victor Pontonnier
pour la scénographie Balyam Ballabeni & Benjamin Lebreton
assistés de Côme Hugueny
pour les costumes Nelly Geyres
pour la technique vocale Emmanuel Robin
coproduction : Festival d’Avignon ; Théâtre de la Ville — Paris ; Théâtre Dijon Bourgogne — Centre dramatique national ; Théâtre des 13 vents CDN Montpellier ; Théâtre + Cinéma — Scène nationale de Narbonne ; Théâtre de Lorient — Centre dramatique national ; Pôle-Sud — CDCN Strasbourg ; Les Halles de Schaerbeek — Bruxelles ; Le Parvis — Scène nationale Tarbes Pyrénées ; Théâtre National de Bretagne — Rennes ; Compagnie Maguy Marin
La Compagnie Maguy Marin à rayonnement national et international est soutenue par la Direction Régionale des Affaires Culturelles Auvergne-Rhône-Alpes. La Compagnie Maguy Marin est subventionnée par la Ville de Lyon, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et reçoit l’aide de l’Institut français pour ses projets à l’étranger.
diffusion nationale et internationale : A Propic / Line Rousseau & Marion Gauvent
La Guerre du Péloponnèse de Thucydide est publié aux éditions Gallimard, collection Folio.
durée 1h30
La Gigogne des tontines
Alain Béhar
La grande histoire, celle de l’humanité, en contient une infinité de plus petites, prises les unes dans les autres (d’où les gigognes, comme les poupées). Et depuis la fin du nomadisme, il y fut souvent question d’économie, sous forme de caisses, banques, assurances petites ou grandes (d’où les tontines, comme pot commun). Ceux qui témoignent ici sont de bons vivants âgés grosso modo de 500 000 ans, un peu sympathiques et un peu minables, qui ont tout traversé et s’en sortent bien, les éternels conquérants in progress du moindre territoire et des marchés à prendre depuis la nuit des temps.
générique
texte et mise en scène : Alain Béhar
avec : Alain Béhar, Isabelle Catalan et Valery Volf
dramaturgie, regard : Marie Vayssière
scénographie : Mathieu Lorry-Dupuy, Cécile Marc
lumières : Claire Eloy
sons : Kalimero
vidéo et graphismes : La porte, Idriss Cissé, Idriss Jendoubi, Marco Lando
production Compagnie Quasi
coordination de production Théâtre du Bois de l’Aune (Aix-en-Provence)
coproduction Châteauvallon-Liberté, scène nationale (Toulon) ; Théâtre des 13 vents CDN Montpellier ; Théâtre Garonne-Scène européenne (Toulouse) ; Pôle Arts de la scène (Marseille).
Quasi est en convention avec le Ministère de la culture – DRAC Occitanie et reçoit le soutien de la Région Occitanie au titre de l’aide à la création artistique.
durée 1h15
Par autan
François Tanguy
Comme dans les dernières pièces du Radeau, le titre indique, sous forme d’énigme, un mouvement. Il fut parfois musical (Coda, Item), parfois corporel (Soubresaut). Cette fois c’est d’un vent qu’il s’agit, l’autan, venant de la haute-mer, traversant la haute-montagne, poussant d’un coup brusque ou caressant ceux qui se promènent, comme les figures du Radeau, sur les chemins de l’Histoire, jonchés de masques, de perruques, de murmures, de grimaces, de poèmes, de farces enfantines, de turbulences nocturnes et d’éclairs symphoniques.
générique
mise en scène et scénographie : François Tanguy
avec : Frode Bjørnstad, Samuel Boré, Laurence Chable, Martine Dupé, Erik Gerken, Vincent Joly, Anaïs Muller
élaboration sonore : Éric Goudard et François Tanguy
lumières : François Fauvel, Typhaine Steiner et François Tanguy
régie générale : François Fauvel
régie lumière : François Fauvel, Typhaine Steiner et Jean Guillet
régie son : Éric Goudard
couture : Odile Crétault
production / diffusion : Geneviève de Vroeg-Bussière
diffusion internationale : Philippe Murcia
coproduction : Théâtre du Radeau – Le Mans, Théâtre des 13 Vents – CDN de Montpellier, La Comédie de Caen – CDN, Festival d’Automne à Paris, Les Quinconces et L’Espal – Scène nationale du Mans, L’Archipel – Scène nationale de Perpignan, Théâtre National de Bretagne, T2G – Théâtre de Gennevilliers – centre dramatique national
le Théâtre du Radeau est subventionné par L’État – Préfet de la Région Pays de La Loire – Direction Régionale des Affaires Culturelles, le Conseil Régional des Pays de la Loire, le Conseil Départemental de la Sarthe, la Ville du Mans. Il reçoit le soutien de Le Mans Métropole
avec la participation artistique du Jeune Théâtre National
durée 1h30
La Cerisaie
Daniel Jeanneteau, Mammar Benranou
S’accroche souvent à La Cerisaie, dernière pièce de Tchekhov, une charge crépusculaire. Il est vrai qu’elle s’écrit à la charnière de deux mondes : la perte et le deuil y ont toute leur place, la maison de l’enfance finira par être vendue, les cerisiers abattus. Pour autant, il ne faut pas oublier la haine de Tchekhov pour la longue agonie de la Russie tsariste : à cette lumière, en la libérant de sa gangue passéiste, on peut redonner à cette pièce sa force d’action, d’intervention cruelle et lucide sur le cours de l’histoire.
générique
conception et mise en scène : Daniel Jeanneteau, Mammar Benranou
texte : Anton Tchekhov
traduction française : André Markowicz, Françoise Morvan
traduction japonaise : Noriko Adachi
avec : Kazunori Abe, Solène Arbel, Axel Bogousslavsky/Stéphanie Béghain*, Yuya Daidomumon, Aurélien Estager, Haruyo Hayama, Yukio Kato, Katsuhiko Konagaya, Nathalie Kousnetzoff, Yoneji Ouchi, Philippe Smith, Sayaka Watanabe, Miyuki Yamamotoscénographie : Daniel Jeanneteau
création lumières : Juliette Besançon
création son : Isabelle Surel
création vidéo : Mammar Benranou
composition musicale : Hiroko Tanakawa
costumes : Yumiko Komai
*Axel Bogousslavsky ne pouvant assurer les représentations à Montpellier, le rôle de Firs est confié à Stéphanie Béghain.
projet organisé par le T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique National ; la Fondation du Japon et le SPAC-Shizuoka Performing Arts Center
production : SPAC-Shizuoka Performing Arts Center — Japon ; T2G Théâtre de Gennevilliers — Centre dramatique national
coproduction : Théâtre des 13 vents CDN Montpellier
spectacle créé au Shizuoka Performing Arts Center (Japon) le 12 novembre 2021, en coproduction avec la Fondation du Japon
durée 2h20
date de création
création japonaise au Shizuoka Performing Arts Center le 12 novembre 2021
Les Antonins – oratorio
Félix Jousserand
Oratorio électronique en alexandrins contemporains
Le spectacle raconte le triomphe de l’Empire romain, sous la dynastie des Antonins (Trajan, Hadrien, Antonin le Pieux, Marc-Aurèle et Commode), il y a deux mille ans. Les deux premiers empereurs sont militaires, les deux suivants intellectuels, le dernier tyran. La civilisation née sur les bords du Tibre connaît alors son apogée, prélude à un déclin inexorable.
générique
générique :
livret : Félix Jousserand
musique : Sarah Murcia
dramaturgie, mise en espace : Benjamin Lazar
avec
Élise Caron : chant, chœur
Mike Ladd : chant, chœur
Antonin Rayon : claviers
Sarah Murcia : contrebasse, chant, chœur
Félix Jousserand : voix
coproduction et soutiens (en cours) : Académie de France à Rome – Villa Médicis, Théâtre des 13 vents CDN Montpellier, Festival Roma Europa
production déléguée : Prima donna – les2bureaux.fr
durée 1h15
MILK
Bashar Murkus - Khashabi Theater
Le sol est noir, couvert d’éponges qui absorbent la lumière et étouffent les sons. Puis des corps de chair et de sang, des femmes, entrent. Elles pleurent. Leurs larmes blanches sont de lait, le même qui aurait dû être naturellement donné à leurs enfants, s’ils n’étaient disparus. Puis des mannequins médicaux auscultés, empilés sont disposés. La mort et la vie sont partout. Dans ce nouvel opus, le jeune metteur en scène palestinien parle de notre monde à l’image d’une tragédie contemporaine où le désastre sur le corps des femmes est visible, palpable, effrayant. Des femmes qui, pour survivre, transforment ce qui les entoure et les touche en paysage d’une beauté incandescente.
générique
Rembobiner
Collectif Marthe
Rembobiner est un spectacle construit à partir de l’oeuvre vidéo de Carole Roussopoulos, documentariste féministe ayant travaillé toute sa vie à garder traces des luttes les plus importantes de son époque. Des années 70 à sa mort en 2009, elle réalise une centaine de documentaires pour donner voix à celleux que l’on n’entend pas dans les médias traditionnels ou dans les sphères politiques.
générique
DIAWAL PROJECT
Mickaël Serre
DIAWAL PROJECT a pour thème central la construction du port de Ndayane, projet de port titanesque vendu par les Emirats au gouvernement sénégalais, s’étendant de Dakar à Toubab Dialaw. Cette ancienne terre de la tragédie de l’esclavage, outragée par la colonialité, voit arriver une nouvelle menace qui porte cette fois le titre d’émergence, mot-valise d’un afro-capitalisme triomphant. Traces, mémoires, histoire, écologie, esthétique, poétique du vivant, DIAWAL PROJECT questionne le terme « développement » et le confronte aux récits des personnes vulnérabilisées par les choix politiques de quelques élites.
générique
Cœur instamment dénudé
Lazare
Le titre vient de Baudelaire, la fable d’Apulée, le tout passant par une pièce de Molière et un épisode de la vie de Louise Michel : la mythologie se connecte là où elle veut. Au centre, pourtant et toujours, il y a la belle Psyché, que jalouse Vénus, et dont le fils Cupidon est tombé amoureux à la suite d’un accident de tir à l’arc. Autour, il y a un prétendant idiot, un Palais sensuel, un dieu du vent, le robot des drogues, des sœurs mesquines, la disquette de la mémoire éternelle, un homme-couteau, une Cadillac, un club de strip-tease, un escalier, des flammes, et des chansons à ne plus savoir qui aimer.
générique
texte et mise en scène : Lazare
avec : Anne Baudoux, Ava Baya / Juliette de Massy (21-22 mars), Laurie Bellanca, Ella Benoit, Paul Fougère,
Louis Jeffroy, Loïc Le Roux, Veronika Soboljevski
collaboration artistique : Anne Baudoux
assistanat général et conseil chorégraphique : Marion Faure
assistanat musical : Laurie Bellanca
musique : Vita Nova
coordonnée par : Laurie Bellanca et Veronika Soboljevski
création sonore : Jonathan Reig
création lumière : Kelig Le Bars
scénographie : Olivier Brichet
costumes : Virginie Gervaise
régie générale : Bruno Bléger
régie plateau : Yoan Weintraub
régie lumière : Alexandre Rätz
habillage : Marion Xardel
administration/production/diffusion : Jessica Régnier, Patricia Moreno – La Gestion des Spectacles/Les 2 Bureaux
production : Théâtre National de Strasbourg, Vita Nova
coproduction : MC93 – maison de la culture de Seine-Saint-Denis Bobigny, Maison de la Culture d’Amiens – Pôle européen de création et de production, Théâtre National de Bretagne – Centre européen Théâtral et Chorégraphique, Théâtre des 13 vents – Centre dramatique national Montpellier, Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique, Comédie de Caen – CDN de Normandie
avec la participation artistique du Jeune théâtre national
avec le soutien du Fonds SACD Musique de Scène, de la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon – Centre national des écritures du spectacle, de la Fonderie-Le Mans
VITA NOVA est conventionnée par la DRAC – Île de – France – ministère de la Culture
durée 1h40
Mes jambes, si vous saviez, quelle fumée…
Bruno Geslin
Pierre Molinier, peintre en bâtiment, puis artiste-peintre et surtout photographe, aimait à se gainer les jambes. Fétichiste, Molinier le fut au sens très pur où le XVe siècle définissait ce terme : « ce qui a vocation à rendre compte des mystères de cultes impénétrables ». Sa vie durant, au gré d’une série d’autoportraits, il scruta l’étrangeté d’un corps livré aux métamorphoses du fantasme androgyne et aux effets du temps. Partant d’entretiens avec l’artiste, Bruno Geslin recompose sur scène les figures forgées par un homme cherchant à inventer sa vie, voire à conjurer la mort par de constantes renaissances.
générique
adaptation théâtrale : Bruno Geslin et Pierre Maillet
d’après les entretiens de Pierre Chaveau avec Pierre Molinier réalisés en 1972
mise en scène : Bruno Geslin
avec Pierre Maillet, Elise Vigier, Jean-François Auguste
images : Bruno Geslin et Samuel Perche
confection des masques : Samuel Perche
conception costumes : Laure Mahéo
costumes 2022 : Hanna Sjödin
régie générale : Guillaume Honvault
création son : Teddy Degouys
régie son : Pablo Da Silva
régie lumière : Jean-François Desboeufs
régie plateau : Yann Ledebt
régie vidéo : Jéronimo Roé
production : La Grande Mêlée
coproduction : TNB, Rennes, Théâtre des 13 vents, CDN de Montpellier, La Comédie de Caen, CDN de Normandie, L’Archipel, scène nationale de Perpignan, Théâtre Sorano, scène conventionnée Toulouse, Théâtre de Nîmes, scène conventionnée
Depuis septembre 2021, Bruno Geslin est artiste associé au Théâtre des 13 vents, CDN de Montpellier et au TNB, Rennes.
Entretien avec Pierre Chaveau de Pierre Molinier, est publié aux éditions Opales.
durée 1h30
Combats
Jo n’a pas envie de faire ce qu’elle doit faire. Jo n’a pas envie de faire ce qu’elle doit faire au point que, à un moment, Jo se trouve entièrement bloquée. Son cousin Al qui est là lui suggère pour se tirer de ce mauvais pas de faire quelque chose d’inattendu et par exemple de jouer au premier jeu qui lui passe par la tête. Pendant que Jo et Al éprouvent cette méthode, ce dernier apprend que Nina, une amie de Jo, va passer, Nina qu’il connaît un peu et avec qui il a du mal à se comporter : elle l’impressionne. Alors que Jo combattant son blocage grâce au jeu va peu à peu réenvisager la possibilité de faire ce qu’elle doit faire, Al va ainsi également s’engager, à l’arrivée de Nina, dans un combat, contre le ton de leur relation.
générique
texte : Nicolas Doutey
mise en scène : Adrien Béal
avec : Cindy Vincent, Emile-Samory Fofana, Ada Harb, Pauline Vallé
dramaturgie : Yann Richard
regard chorégraphique : Thierry Thieû Niang
scénographie, costumes : Anouk Dell’Aiera
régie générale : Martin Massier
production déléguée : T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique National
production : TNS Théâtre National de Strasbourg ; Théâtre des 13 vents, Centre Dramatique National de Montpellier
avec la participation artistique du Studio-ESCA et du Jeune Théâtre National
spectacle créé au Théâtre National de Strasbourg en juillet 2022, dans le cadre de La Traversée de l’été
date de création
création au Théâtre National de Strasbourg, juillet 2022
dates et lieux de tournée
- 7 Mar 2023 • Salle Georges Brassens • Lunel
- 8 Mar 2023 • Médiathèque • Lunel
- 30 Mar 2023 • Gymnase de la Cité Scolaire Françoise Combes • Montpellier
- 31 Mar 2023 • Maison pour tous Fanfonne Guillierme • Montpellier
- 1 Avr 2023 • Maison pour tous François Villon • Montpellier
- 20 Avr 2023 • Maison pour tous Albert Camus • Montpellier
- 21 Avr 2023 • Maison pour tous Mélina Mercouri • Montpellier
- 11 Mai 2023 • Jardin de la salle Jean-Louis Herrault • Juvignac
- 12 Mai 2023 • en raison de la météo, la pièce aura lieu Salle Jacques Brel • Prades-le-Lez
- 13 Mai 2023 • Salle Rosa Parks de la Médiathèque de l’Ancre • Carnon
- 14 Mai 2023 • Maison pour tous George Sand • Montpellier
- 17 Mai 2023 • Salle des Fêtes • Montarnaud
dossier
dossierpublic_A4_Combats_13032023
contact
Si vous souhaitez accueillir une représentation, merci de contacter :
Sandrine Morel, directrice des relations avec le public, sandrinemorel@13vents.fr, 04 67 99 25 13
La Tempête – Le Songe d’une nuit d’été
Marie Lamachère
Dans les pièces de Shakespeare présentées ici en diptyque, la magie est omniprésente. Au banquet du Songe, elle confond les rois et les artisans de théâtre, trouble le jeu des sexes et des genres. Sur l’île de La Tempête, elle fausse la mémoire et les apparences. En minant tout rapport « normal » ou « naturel » à la réalité, elle ouvre la voie à d’autres régimes de perception, parcourus de séquelles, agités de métamorphoses. Marie Lamachère et la troupe de La Bulle Bleue déploient ici une odyssée visuelle et auditive à hauteur de crânes, peuplés (comme chacun sait) de songes et de tempêtes.
générique
d’après William Shakespeare
conception, adaptation et mise en scène : Marie Lamachère
avec les comédien.nes de la compagnie La Bulle Bleue :
Mélaine Blot, Maéva Brunie, Mireille Dejean, Laura Deleaz, Steve Frick, Arnaud Gelis, Sarah Lemaire, Jean-Noël Papera, Philippe Poli et Mickaël Sicret,
les comédien·nes de INTERSTICES :
Léo Bahon, Théophile Chevaux, Stan Dentz, Romain Debouchaud, Antoine De Foucauld , Agathe Mazouin, Martin Mesnier, Guillaume Morel, Damien Valero et Zoé Van Herck
traductions : Julie Etienne et Joris Lacoste
conception, adaptation et mise en scène : Marie Lamachère
univers sonore : Sarah Métais-Chastanier
scénographie : Delphine Brouard
travail du corps : Delphine Gaud
travail de la voix : Samuel Zaroukian
travail théâtre d’objets : Cécile Vitrant
création et régie lumière : Julie Valette
création et régie vidéo : Laurent Rojol
costumes : Cathy Sardi
direction de production : Nathalie Carcenac
administration : Sylvie Suire
communication : Nicolas Claveau
logistique : Christophe Pistuddi
presse ZEF / Isabelle Muraour, Clarisse Gourmelon
accompagnement éducatif : Guillemette Michel, Audrey Prolhac et Delphine Auxietre (régisseuse)
avec les équipes de direction et de production de La Bulle Bleue : Delphine Maurel, François Pontailler, Laurie Martin, Stéphanie Teillais-Blandamour, Alexey Khaziev, Fabienne Aubertin, Christophe Maleyran, Valérie Solbes
production : INTERSTICES
coproduction :
production INTERSTICES
coproduction : La Bulle Bleue, ESAT artistique et culturel — ADPEP34 Montpellier ; Théâtre des 13 vents Centre Dramatique National Montpellier ; Festival Le Printemps des Comédiens — Montpellier Le Vivat Scène conventionnée d’intérêt national art et création — Armentières ; CNCA, Centre National pour la Création Adaptée — Morlaix
avec la participation artistique du Jeune théâtre national
création soutenue par le Fonds d’Insertion professionnelle des Acteurs de l’ENSAD — Montpellier
la création bénéficie du Fonds de production du Ministère de La Culture
création soutenue dans le cadre de la candidature de « Montpellier Capitale Européenne de la Culture 2028 »
la création a bénéficié d’un accueil en résidence à l’Institut de recherche sur la Renaissance, l’âge Classique et les Lumières, laboratoire du CNRS et de l’Université Paul-Valéry — Montpellier.
INTERSTICES est membre du collectif d’artistes associés à La Bulle Bleue.
INTERSTICES est conventionnée par Le Ministère de La Culture / DRAC Occitanie. Elle reçoit les soutiens de La Région Occitanie, de Montpellier Méditerranée Métropole et de La Ville de Montpellier.
La Bulle Bleue est un établissement de l’Adpep34. Elle est soutenue pour ses activités par Le ministère de la Santé et des Solidarités / Agence Régionale de Santé Occitanie, Le ministère de la Culture / Direction Régionale des Affaires Culturelles Occitanie, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Le Conseil départemental de l’Hérault, Montpellier Méditerranée Métropole, La Ville de Montpellier et Le Cercle des mécènes de La Bulle Bleue.
durée estimée 4h, entracte compris
Mues
Marion Aubert et Marion Guerrero
« Je travaille avec un problème : « Que se passe-t-il lorsque les vies flanchent et que le sol devient moins ferme ? » Je travaille à ce qui pousse sous nos vies sans qu’on s’en rende compte. Je travaille au frottement entre l’art lyrique, l’art comique, et l’art sacré. Je travaille à lutter contre le réel, dur comme le roc. Parfois, ça se fend. Faut faire très attention à pas tomber dans la fente. Je travaille à la vie de Marie, venue se ressourcer, au début du 21ème siècle, dans le village d’Avèze. Ici vivent celles et ceux que la ville a recrachés, le temps d’un break. Alors qu’elle est en balade, au cœur de la forêt, Marie sent en elle, et hors d’elle, le monde s’ouvrir.
générique
Caligula
Jonathan Capdevielle
Plus d’informations très prochainement.
générique
L’Amour et l’Occident
Céline Champinot
Plus d’informations très prochainement.